Ca, c'est fait !

Et bien voilà ! Depuis le fameux titre de ce message http://svpernetfamily.blogspot.com/2010/11/tombee-dans-les-escaliers.html , qui, alors, n'avait rien à voir, ici je peux le reprendre au sens propre. Il faut dire que depuis ce message et ce qu'il contient, la déveine me poursuit... On n'est déjà pas en grande forme, ni physiquement, ni moralement, à la suite d'une fausse couche, mais quand en plus les choses s'accumulent...

• Stress au travail pour finir le bilan comptable de l'année 2010 dans les temps (records)
• Neige et verglas sur les routes pour ponctuer notre quotidien
• Fêtes de fin d'année pas très joyeuses
• Le 30 décembre, en revenant de chez le médecin pour Ethan, je me fais une contracture au mollet droit en glissant sur une plaque de verglas
• Du 31 décembre au 2 janvier, ma copine gastro me tient compagnie : nausées, vomissements, diarrhées, tout y passe et de partout
• Le 3 janvier, mon "retour de couches" arrive et prend la suite de la gastro pour m'épuiser. Toujours cette impression très désagréable qu'on m'aspire ce que j'ai à l'intérieur (contenu)
• Le 5 janvier en allant à mon travail, le matin, je descends mes escaliers (heureusement, mon beau-père était déjà en bas avec Ethan) et je glisse dès la première marche. Je tombe jusqu'en bas des marches sur le dos, les fesses, les coudes, et je m'abîme contre le chambranle de la porte, comme une loque. Depuis, je souffre et je végète. On verra ce soir ce qu'en pense le médecin, parce que tout mon corps n'est que souffrance, je ne peux rien faire (et folle que je suis, j'ai quand même tenu à finir ma semaine de boulot). Retour de couches toujours là, avec des douleurs d'aspiration toujours plus marquées (cette fois, j'ai l'impression que c'est le contenant (utérus) qu'on m'aspire)
• Le 6 janvier, je fais une crise de nerfs au travail : rien ne va, j'ai mal et j'ai deux PC dont je ne peux pas me servir parce que plus ou pas encore connectés au réseau, donc impossible de finir mon travail, qui bien sûr, doit être fait en urgence.

J'arrête là...